Infatigable lorsqu’il s’agit d’apporter de l’aide et de l’assistance, inlassable pour aider les plus nécessiteux, l’homme s’est illustré par plusieurs réalisations au profit de la classe dont les moyens sont très limités.
Des ouvrages de franchissement aux centres de santé construits dans les zones reculées de la capitale guinéenne, en passant par les forages et les infrastructures scolaires, Antonio Souaré s’est toujours distingué par l’accomplissement d’œuvres humanitaires au bénéfice de la classe défavorisée de notre pays.
Les plus démunis de la société guinéenne ont une place de choix dans son cœur. Manifestement, il fait améliorer le niveau de vie chaque fois qu’il le peut par son organisation d’aide et sa vocation essentielle à diminuer la nécessité du besoin pour d’autres compatriotes.
Dans la lutte contre pandémie qui endeuille l’humanité tout entière, il a encore fait une fois une assistance d’un milliard de Francs guinéen pour aider la nation à combattre cet ennemi invisible qui a déjà provoqué tant de compassion à travers le monde.
La nature de ce geste ne nous surprend guère, car Antonio Souaré démontre que dans les affaires comme dans la vie courante il sait redistribuer les dividendes de ses gains.
Nous n’insisterons jamais assez sur les bienfaits de cet homme, qui dans le recrutement du personnel de sa holding GBM à l’évacuation, l’assistance médicale à l’étranger, ou l’enrôlement dans le Horoya, son club, il s’obstine toujours à changer le sort de tous ceux qui l’entourent. Ce costume de générosité lui va très bien. Et malgré les situations d’urgence, il n’est pas prêt à l’abandonner. C’est aussi cela le patriotisme, surtout que la jeunesse, le sport et la culture en général, ont toujours fonctionné dans sa vision comme facteur pas seulement de plaisir mais imperturbable pour le développement équilibré de toute nation engagée à mobiliser et éduquer sa jeunesse.
Par Ibrahima Diallo
Journaliste/ Écrivain