Articles

Rond-point de l’Aéroport international de Gbéssia : Une route qui mérite tous les mots

шаблоны сайтов
joomla

Image du grand rond-point de l'Aéroport

Conakry, qui était dans le temps selon des dires de certains observateurs, considéré comme la perle de l’Afrique de l’ouest. Chose qui ne devrait plus sortir de la bouche d’un guinéen.

Un pays où l’état des routes est piteux, personne ne doit avancer des arguments pour rien au monde, que notre pays est entretenue dans de bonne main ! A voir les réalités du point de l’Aéroport international de gbéssia ce vendredi, l’on se demande si la Guinée à une fois eu un département des travaux publics, ayant pour charge la gestion et construction d’infrastructures routières pour sortir les fils du pays de se calvaire qu’ils ne tendent plus à supporter. Outre que les embouteillages pénalisant d’aucuns dans leurs déplacements pour ralliés les lieux de services et autres, c’est de l’eau qui a stagné sous le pont créant des déceptions sur les visages des usagers de la route, qui n’arrêtaient de se poser la question ‘’avons-nous des dirigeants’’ ? Et pourtant nous en avons pleinement, mais le manque de volonté à concrétisé des actes les abrites à plus d’un titre ! Cet articles que j’adresse au lecteur, ne vient pas seulement de moi, des citoyens très désolés de cette image indigne que ressort cette partie de la capitale, qui accueille du jour au lendemain des étrangers, et même au moment où elle abrite également le projet ‘’Capitale mondiale du livre’’. Vraiment désolant.

Par la voix d’un citoyen, qui s’est prêté au micro d’un reporter de globalguinee.infos, le calvaire reste l’un des mots qu’il n’a cessé d’employé pour démontré son indignation face à cette situation qui selon lui, doit coute que coute avoir une solution adéquate afin de leur sortir de ce profond trou.

« Sous le pont, c’est une canalisation qui est relié à la mer. Il a les regards qui sont devant. Les regards là aussi il n’ya plus de couvercle sur eux. Les ordures qui sont déversé dans l’eau, se sont ses mêmes ordures qui bloquent l’eau. Une fois que les voitures passent, la route se bloque sans avertir » témoigne Seydouba Doumbouya.

Passagers et conducteurs, se sont les grands mécontents de cet enfer sur terre. Ils haussent le ton par toutes les manières.

Des voitures en panne, inondés par de l’eau, c’était entre autre l’atmosphère qu’affichaient les lieux en toute sincérité. Ce qui pousse d’ailleurs un chauffeur, a placé le pain sur la planche.

« En tant que propriétaire de véhicule s’a détruit nos moteurs, l’eau rentre dans nos véhicules, s’a fait plus d’une heure de temps qu’ont n’est dans l’embouteillage. Ici on ne planifie rien. On a mal fait le pont. L’ingénieur a mal travaillé, et le gouvernement ne fait pas son rôle » dénonce Bangaly Kourouma.

Les autorités sont donc interpelées à tous les niveaux.

Par Souleymane Camara.